Type: Tumeurs solides avancées précédemment traités, HRRm et/ou un HRD positifs. - Le promoteur: Merck Sharp & Dohme (MSD)
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans

Étude MK-7339-002-00 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la sécurité de l’olaparib en monothérapie, chez des patients précédemment traités, ayant une tumeur solide avancée avec un statut HRRm ou HRD positif. Les tumeurs solides cancéreuses, comme les carcinomes ou les sarcomes, repérables par un amas de cellules localisé représentent la majorité des cancers. Un cancer métastatique ou disséminé signifie que les cellules cancéreuses ont migré à travers le corps, par la voie des vaisseaux sanguins ou lymphatiques et ont colonisé un ou plusieurs autre(s) tissu(s), loin de la tumeur d’origine. Le traitement de référence dépend de plusieurs facteurs, notamment du type de cancer, du stade du cancer, des préférences personnelles et de l’âge des patients. Il existe différents traitements du cancer utilisés seuls ou associés entre eux : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l’hormonothérapie, l’immunothérapie ou les thérapies ciblés. Parmi ces dernières, on retrouve par exemple des traitements ciblant spécifiquement des mutations de BRCA ou HRRm/ HRD situées à la surface ou à l’intérieur des cellules cancéreuses et qui altère la réparation des dommages normaux de l'ADN. L’olaparib est un inhibiteur de la poly(ADP-ribose) polymérase (PARP). Il s’agit d’une protéine qui aide les cellules endommagées à réparer leur ADN. Certaines cellules cancéreuses, comme celles ayant une altération des gènes HRRm/HRD, dépendent de la PARP pour conserver leur ADN en bonne état. Ainsi, l’olaparib empêche le PARP de réparer les dommages de l'ADN entraine la mort des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’olaparib en monothérapie, chez des patients précédemment traités, ayant une tumeur solide avancée avec un statut HRRm ou HRD positif. Les patients recevront de l’olaparib 2 fois par jour. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 53 mois après le début de l’étude.

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